Angosta (Littérature étrangère) (French Edition) by Hector Abad Faciolince,Anne Proenza

Ville des Andes, Angosta a été divisée par les militaires en trois « sekteurs » qui déterminent précisément los angeles position de leurs habitants et leurs droits. Sur les hauteurs domine le Sekteur F, aussi appelée Paradis. C’est l. a. terre des dons, riches industriels, anciens négriers ou directeurs de casinos. Ils peuvent se déplacer librement d’une sector à l’autre, mais se gardent bien de le faire.
Le Sekteur T est le véritable centre d’Angosta, l’ancienne quarter caféière. Elle est habitée par les secondons, classe moyenne d’artistes, de libraires, d’ouvriers... Les secondons ont besoin d’un laissez-passer pour entrer à Paradis. Au plus bas de los angeles vallée begin le Sekteur C, safe haven des tercerons. sector de non-droit habitée par les marginaux, elle est le territoire de chasse de los angeles Secur, l. a. sanguinaire milice paramilitaire.
Nous suivons les habitants de ces zones d’exclusion dans leur vie, ou plutôt leur survie quotidienne. Jacobo, libraire de 39 ans, vit en Sekteur T. Divorcé, il a le malheur de tomber amoureux de l. a. maîtresse d’un don, mafieux à l. a. tête du cartel d’Angosta. Andrés, jeune poète, ronge son frein dans sa famille de los angeles area T. Ses mom and dad n’ont qu’un héros, son frère Augusto, capitaine de l’armée et complice de l. a. Secur. Jacobo et Andrés vivent dans le vieil hôtel décati de l. a. Comédie, reste de los angeles splendeur passée d’Angosta. Véritable microcosme, reflet de los angeles cité d’Angosta, l’hôtel reçoit des pensionnaires divers dont l’auteur croque un portrait savoureux.
En décrivant les aventures, les espoirs, les doutes des habitants de cette cité dystopique qui se rapproche dangereusement de l. a. réalité, Hector Abad Faciolince parle de los angeles Colombie d’aujourd’hui, mais aussi de los angeles corruption, de los angeles liberté qui s’amenuise, de l. a. violence, du mystery, et de los angeles littérature comme dernier refuge.

Traduit de l’espagnol par Anne Proenza